Les odeurs provenant des toilettes, des cafétérias, des différents parfums corporels et les mauvaises odeurs en général sont la cause principale des plaintes faites par les clients et collaborateurs.

Aux termes d’un arrêt du 9 avril 2013, la 3ème chambre civile de la Cour de cassation a considéré que caractérise un trouble de jouissance, la présence d’odeurs nauséabondes qui, entraînant une perte d’exploitation pour le preneur, constitue un préjudice certain devant être réparé. Du fait de la présence d’odeurs nauséabondes dans la salle de restaurant, caractérisant un trouble de jouissance dont le bailleur devait répondre, le preneur a subi une perte de clientèle et donc une perte d’exploitation. La Cour d’appel suivant le rapport de l’expert judiciaire, a évalué souverainement le montant du préjudice subi par le preneur à la somme de  50 000 €, correspondant à une perte de chance « totale » de réaliser un chiffre d’affaires comparable à celui obtenu par le précédent preneur.

Ces gouttelettes sont expulsées lorsque les personnes éternuent, toussent ou parlent. La transmission virale, qui peut déjà se faire jusqu’à 50m, peut être accélérée ou répandue plus facilement par le système CVC d’un bâtiment, causant potentiellement la prolifération de l’infection.

Les réactions allergiques peuvent être déclenchées par des irritants tels que :

• Le pollen
• Des spores de moisissures
• Les poils d’animaux
• Les acariens

Ces allergènes se retrouvent également dans les cas de problèmes respiratoires pour les personnes faisant de l’asthme qui touchent 1 enfant sur 11.

Peintures, produits de nettoyage, et équipements divers de bureaux peuvent contenir des COV et déclencher des maux de tête, de l’asthme et des crises d’allergies. D’autres contaminants incluant :

• Les spores de moisissures
• Les poils et odeurs d’animaux
• La fumée de cigarette
• Benzene, amoniac
• Les PM 2.5 (les particules fines de pollution)
• Les bactéries